Sur la nuit
Avant, j’étais fêtard. J’ai beaucoup traîné. Je n’allais pas forcément dans les soirées, je restais plus souvent devant les boîtes à parler avec les gens qui s’agglutinent. Il y a parfois des ambiances plus marrantes qu’à l’intérieur. Le Baron, par exemple, je le connais
bien de l’extérieur.