... l’apéro
un apéro. On évoque la possibilité de parler plus tard d’un autre sujet, je propose qu’on se retrouve au troquet. On remarque que ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vus, je suggère un rendez-vous au PMU – non, là c’était juste pour la rime. Bref, je troquerais sans problème vingt cafés ou dix déjeuners contre un seul apéritif. Et l’alcool n’a (presque) rien à voir là-dedans.
Tout petit apéritif
e n’aime pas l’apéro : j’adore ça. Je pensais que ça ne se voyait pas, jusqu’à ce que Cosmo m’appelle en personne pour me demander d’écrire un article sur ce sujet. Ce qui m’avait trahie ? Cette façon de proposer des apéros à tout le monde et à tout bout de champ. Pagne. Champagne. On me dit que ça serait sympa de se voir bientôt, je propose Ça a commencé vers 6 ans. L’apéro, c’était « l’heure des grands ». Ça sentait le parfum des adultes qui s’étaient fait beaux et les amuse-bouches dans le four. Ça sentait le week-end ou les vacances, le bain sur lequel on ferait l’impasse pour une fois et le droit qu’on aurait de veiller un peu tard. Il y avait l’apéro des grands, avec des verres