Sur son pseudo
Pour ma toute première impro en public, à Trappes, on m’a demandé de parler de la vie de ma mère. Et là, trou noir, quarante-cinq secondes de silence total. Pour me vanner, mes amis m’ont appelé «Tsamère » et le sur
nom m’est resté.
Pour ma toute première impro en public, à Trappes, on m’a demandé de parler de la vie de ma mère. Et là, trou noir, quarante-cinq secondes de silence total. Pour me vanner, mes amis m’ont appelé «Tsamère » et le sur
nom m’est resté.