Sur ses débuts
Au Québec, j’ai mis vingt ans à défricher le terrain en hypnotisant des gens dans des bars ou des cabarets. En France, même si les gens sont plus cartésiens, il suffit qu’ils montent sur scène et tombent dans un état d’hypnose. Après, ils se renseignent et comprennent que c’est une science. Il n’y a rien d’ésotérique
là-dedans.