Applaudir
Nous, quand on court, c’est pour perdre des calories, de l’énergie, des litres de sueur. D’autres, c’est pour gagner un puits à installer dans leur village. En participant au Marathon de Paris coiffée d’un bidon, Siabatou Sanneh est parvenue à sensibiliser l’opinion au sort des femmes de Gambie obligées de parcourir elles aussi 42 km, mais pour se procurer de l’eau. Une belle course qui avait du fond. Admiration.