« Le Fils de Saul »
de László Nemes. À Auschwitz, Saul est chargé de nettoyer les chambres à gaz. Un jour, il reconnaît le corps de son fils... Le réalisateur hongrois signe une plongée bouleversante dans l’horreur des camps de concentration. Un réalisme perturbant mais jamais voyeur. Grand Prix au Festival de Cannes. Le 4 novembre. M.H.