« À peine j’ouvre les yeux »
de Leyla Bouzid. À Tunis, quelques mois avant la Révolution, Farah décroche son bac avec mention très bien. Ses parents la voient en médecine, mais elle rêve de chanter dans son groupe de rock qui critique le régime. On est sous le charme de la voix de Baya Medhaffar, héroïne fougueuse d’une jeunesse tunisienne étouffée par les interdits. Le 23 décembre.