Indépendant avant tout
S’il est en relation étroite avec le PDG et tous les chefs de service, le DPO doit être indépendant. Il n’a pas de supérieur hiérarchique à proprement parler. Il ne reçoit d’ordre de personne pour éloigner le risque de conflit d’intérêt. Dans les entreprises de taille moyenne aux organigrammes assez classiques, il doit mener un comité de pilotage en présence des trois directions incontournables : ressources humaines, juridique et informatique. “Le DPO doit également animer un réseau de référents experts”, ajoute Xavier Leclerc.