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Depuis le début de la crise sanitaire, nous constatons une augmentation de la fébrilité des marchés financiers. Donc de leur volatilité. Cette instabilité peut impacter les souscripteurs d’un contrat d’assurance-vie dont la poche en « unités de compte » (UC) n’est pas garantie en capital. Ils doivent être prudents vis-à-vis de ce placement, mais sans tirer une croix dessus. Si le risque de voir baisser la performance de leur contrat est bien réel, il n’est pas une fatalité. Dans les faits, opter pour des UC ne signifie pas obligatoirement investir dans des actions et de ce fait s’exposer à un possible recul des marchés. L’assurance-vie offre l’avantage de proposer aux particuliers une grande variété D’UC donnant accès à des supports d’investissement très divers : par exemple, l’immobilier via des SCI, des SCPI ou des OPCI. Une solution intéressante pour éviter les réactions incontrôlées des places boursières. De même, vu la difficulté actuelle à anticiper les conséquences économiques de l’épidémie de Covid-19, les épargnants ont tout intérêt à repenser et à adapter leur contrat. Ils ne peuvent se contenter de verser de l’argent et ne plus s’en occuper. Plus que jamais, ils doivent faire vivre leur assurance-vie en investissant progressivement, en procédant à des arbitrages réguliers et en mettant en place une stratégie de diversification des sous-jacents.