En circuit fermé, donc sans traitement
Lorsque les déchets constituent une matière première, on devient très sourcilleux quant à la qualité de sa terre, et on évite à tout prix d’employer des produits toxiques qui s’accumuleraient dans le sol.
• Les auxiliaires sont mis à contribution, comme ces « abris » à pince-oreilles (ci-contre), qui évitent de recourir à des traitements pour protéger les feuilles. Celles-ci pourront être recyclées et même consommées.
• Les capucines (ci-dessous) servent de paillis vivant. Elles sont parfaitement comestibles (tant les feuilles que les fleurs) et le jardinier les consomme tout au long de la saison. En automne, elles deviennent paillis et compost.