La pente, récepteur de soleil
La pente ensoleillée est un véritable capteur d’énergie à elle toute seule. Les rangs sont perpendiculaires, pour éviter tout risque de ravinement. Ce qui dans un jardin est plutôt un handicap devient ici un avantage : son inclinaison se rapproche des 30°
Les graines, un concentré d’énergie
Jacqueline récolte elle-même les graines de ses échinacées. Elle coupe les têtes flétries et les fait sécher. Très tôt au printemps, elle en extraira les graines et les sèmera. En effet, une période de stratification à froid est toujours nécessaire. Certaines graines d’échinacées peuvent germer sans ce passage, mais le taux de germination sera beaucoup plus élevé si elles subissent le froid quelques semaines.
La serre, un capteur efficace
La serre d’environ 5 m2 n’a été installée qu’en 2016, mais elle semble là depuis des années. En hiver, Jean-Claude peut ainsi conserver ses frisées et ses scaroles, qu’il noue soigneusement pour les faire blanchir. Depuis la prise de cette photo, il a doublé les parois avec du plastique à bulles.
Nid de calories au garage
Les semis de tomates, effectués fin mars, attendent patiemment dans la mini-serre. Abrités dans le garage durant la nuit, ils sont sortis au soleil le jour. Le terreau de semis vient d’un pépiniériste local. Jean-Claude ajoute de l’engrais quand les plantules commencent à démarrer, au stade de deux feuilles. Les tomates sont repiquées autour de la première semaine de mai.