Premiers tours de roues
: Ça n’a jamais été clair. Tout ce que je voulais faire, c’était quelque chose qui sorte de l’ordinaire. Les premières années, quand je suis arrivé en Grands Prix, j’ai voulu voir ce que c’était que d’avoir un job, alors j’ai travaillé pendant la pause hivernale en rentrant en Australie. Et ça n’a rien de facile. Si je n’avais pas d’autre choix pour gagner ma vie, je m’y résignerais, mais ce n’est pas un truc que j’aime. Tout petit déjà, ce que je voulais faire, c’était piloter des motos, peu importe la discipline, motocross, supercross, freestyle... Je voulais juste être sur une moto. : Je serais incapable de le dire, c’est venu naturellement. Avant de rouler en championnat espagnol, c’était plutôt un loisir. Depuis ce championnat, c’est devenu mon travail.