Ils ont dit............................
Les déclarations des grands de ce monde, prises sur le vif. Dans le paddock, sur les plateaux télé, dans la presse ou en privé. Morceaux choisis.
« Je ne cherchais pas à suivre Fabio en particulier. En fait, je visais un autre pilote. » Marc Marquez, mentant comme un arracheur de dents après les qualifs à Sepang. Malheureusement, ce n’est pas la première fois...
« L’an dernier, lors de notre première réunion avec Alberto Puig en prévision de 2019, je me souviens lui avoir dit : “Ne commets pas la bêtise de choisir le mauvais pilote. Fais-moi confiance et tu ne seras pas déçu.” Je suis désolé car je l’ai déçu... » Jorge Lorenzo, lors de sa conférence de presse d’adieux le 14 novembre à Valence.
« Le fait que Marquez me suive, je prends ça comme un compliment. Ça veut dire que le team et moi faisons du bon travail. » Fabio Quartararo, qui ne s’émeut pas de la tactique douteuse de l’Espagnol.
« Lorenzo est victime du syndrome Wayne Rainey. Depuis que les médecins lui ont expliqué qu’il pouvait rester paralysé juste en toussant après son accident d’Assen, il roule avec la peur au ventre. » Carlo Pernat, agent de Tony Arbolino, avec lequel s’entraîne Jorge Lorenzo.
« Lorenzo qui raccroche, c’est une grande perte pour le MotoGP. J’ai le plus grand respect pour ce pilote, avec lequel j’ai livré bataille durant la plus grande partie de ma carrière. » Casey Stoner, le 15 novembre sur Twitter.
« Il y a un mythe autour du train avant de la RCV. J’aime cette moto, et en pleine confiance, je pense pouvoir me battre pour le Top 5 à son guidon. » Johann Zarco, à l’arrivée du Grand Prix de Sepang.
« Johann Zarco a prouvé qu’il était capable de piloter la Honda. » Luccio Cecchinello, propriétaire du team LCR et ex-pilote de GP.
« L’écart qu’on a avec Marc est ridicule. Il faut qu’on trouve un moyen d’être plus compétitifs, et ça passe par une moto plus rapide en virage. » Andrea Dovizioso, fatigué d’être vice-champion du monde pour la troisième saison de suite.
« J’ai regardé l’acquisition de données de Fabio. Son pilotage est fantastique. Il ouvre les gaz avant d’avoir relâché les freins, ne tripote pas la moto dans tous les sens. C’est ce qu’il faut faire. » Jeremy Burgess, ex-chef mécano de Mick Doohan et Valentino Rossi.
« Alex n’est plus le “frère de”, il est Alex Marquez, double champion du monde de GP. » Marc Marquez, fier de son petit frère, et champion du monde la même année que lui pour la seconde fois (2014, 2019).