10. PLATEAU TÉLÉ
À midi à Paris, il sera 20 heures à Pyeongchang.
9 ET 25 FÉVRIER, 12 HEURES CÉRÉMONIES D’OUVERTURE ET DE CLÔTURE
Elles se dérouleront dans des conditions dantesques (-10 ° C) et traîneront en longueur ( environ deux heures), mais elles réservent toujours de grands moments de kitsch.
11 FÉVRIER, 3 HEURES SKI ALPIN, DESCENTE HOMMES
L’équivalent du 100 m aux JO d’été se déroulera au milieu de la nuit française, mais ça va, c’est un dimanche. Et cela vaut toujours le coup de se lever très tôt ( ou de veiller) pour assister ( peut- être) à une victoire des Français, historiquement à l’aise en descente ( 4 titres et 5 podiums en 18 éditions).
17 FÉVRIER, 13 H 30 SAUT À SKI, GRAND TREMPLIN
Impossible de ne pas scotcher devant les vols planés de ces hommes oiseaux en combinaison ultra- moulante s’élançant d’un giga- tremplin ( celui d’alpensia fait 109 mètres) à plus de 90 km/ h pour atterrir 130 ou 140 mètres plus loin et plus bas. Vertigineux.
20 FÉVRIER, 2 HEURES PATINAGE ARTISTIQUE, DANSE SUR GLACE
On ne regarde pas le patinage artistique ; on l’écoute. Pour la musique du Boléro? Non. Le seul intérêt de ce sport ( hormis la potentielle médaille des Français Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron), c’est le duo Nelson Monfort - Philippe Candeloro, dont les perles aux commentaires fournissent de quoi remplir tous les zappings de la semaine.
25 FÉVRIER, 5 H 10 FINALE DE HOCKEY SUR GLACE
Délaissée par les meilleurs joueurs du monde, qui préfèrent évoluer en NHL – l’équivalent de la NBA pour le hockey –, la finale des JO réserve toujours son petit suspens. Encore faut- il réussir à suivre le palet sur la glace. Sortez les jumelles.