Contributeurs

Paul Lehr

Ce photographe berlinois a été formé dans les écoles d’arts décoratifs de Hanovre et de Paris, où il vit et travaille depuis 2016. Ses oeuvres oscillent entre portraits et séries mode ou documentaires. Ses photographies ont notamment été publiées dans M, le magazine du Monde, The Wall Street Journal et Republik. Pour GQ, il a posé son regard vif sur nos femmes et hommes de l’année

(lire de la page 96 à 139).

Claire Touzard

Reporter et réalisatrice, elle traite de la mode et de phénomènes sociaux à travers le monde. Elle a notamment suivi le militantisme noir en Afrique du Sud, ou la jeunesse antiPoutine en Russie. Elle travaille aujourd’hui pour Society, Elle, Air France Magazine ou GQ (lire son portrait du mannequin syrien Ahmad page 142, et son interview du docteur Duforez sur la question du sommeil page 88).

Daphné Roulier

Après avoir été pendant vingttrois ans à la tête de certaines des émissions les plus emblématiques de Canal+ (« +Clair », « L’Hebdo Cinéma », « Le Cercle », ou encore « L’Effet Papillon »), la journaliste a animé, de 2014 à 2016, « La Vie est un Je » sur France Inter, toujours avec cet esprit piquant qui la caractérise. Elle a rejoint en novembre Paris Première pour présenter « RayonCult’ ». Depuis un an, elle signe pour GQ le grand entretien, ce mois-ci avec Ladj Ly, notre réalisateur de l’année (page 98).

Tom de Peyret

Ce photographe né en 1986 à Paris envisage son travail comme une réflexion autour de l’architecture moderne, des lieux de cultes et des traditions culturelles des pays qu’il a traversés. Il vient de terminer un livre sur Las Vegas à paraître cet hiver. Ses images de mode, architecturales et contemporaines sont publiées dans les magazines Revue, Double, AD, M, le magazine du Monde, i-D, Vogue, Purple… Il signe pour GQ la série mode centrée sur le mannequin Ahmad et sa bande (page 140).

Jean Perrier

En « macronie », on dirait qu’il est le maître du temps. À GQ, il est l’homme de l’ombre, incontournable, qui veille avec amour et exigence sur le chemin de fer, la bible du magazine. Aucune virgule mal placée ou faute de syntaxe n’est censée lui échapper. Quand il relâche sa vigilance, Jean se passionne pour le cyclisme, le rock indé, le rugby et la physique théorique. Il adore aussi la littérature (voir page 50). Et quand il prend la plume, ici pour raconter Augustin Trapenard (page 136), sa rigueur ne freine aucune élégance et légèreté.