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Décryptage des nouveaux enjeux RH avec le cabinet IDRH

Spécialisé dans la conception et l’accompagne­ment des transforma­tions des acteurs de tous secteurs, ce cabinet élabore des solutions adaptées au contexte de ses clients et aux nouvelles problémati­ques RH et sociales. Retour sur cinq thèmes d’actualité à

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>> L'efficience de la fonction RH

>> La gestion sociale de la transforma­tion

Les incertitud­es et les tensions sur la stratégie d'entreprise impactent les attentes visà-vis de la fonction. Il s'agit donc bien de la rapprocher du business et de ses impératifs stratégiqu­es. Une fonction RH à forte valeurajou­tée combine donc efficacité de l'action au quotidien et capacité à déployer des pratiques et politiques spécifique­s, en soutien de ceuxci. Travailler sur l'efficience RH suppose alors d'expliciter la stratégie RH : quelles priorités et quels enjeux RH en lien avec le business model actuel ou envisagé ? Il est ensuite possible d'arbitrer sur la valeur-ajoutée RH d'une part et sur l'optimisati­on des processus, des moyens et des coûts RH d'autre part. Sur la base d'un diagnostic préalable, IDRH déploie une approche intégrée, de la réflexion stratégiqu­e sur la valeur ajoutée de la fonction à sa déclinaiso­n organisati­onnelle (rôle du corporate, différenci­ation par business units, proximité, mutualisat­ion…), en passant par l'accompagne­ment de sa mise en place avec les différente­s parties prenantes (acteurs des RH et managers du business notamment) pour assurer une transforma­tion pérenne et adaptée de la fonction RH et de ses acteurs. La dimension sociale, au même titre que les dimensions stratégiqu­e et économique, est une composante essentiell­e de toute transforma­tion réussie et ce, dès l'amont du projet : comment « embarquer » l'ensemble du corps social, et faire que les projets soient ceux du plus grand nombre ? Dans un contexte marqué par une faible visibilité, une confiance souvent fragilisée, des partenaire­s sociaux parfois réticents à s'impliquer activement dans les processus de transforma­tion, le défi est de taille. IDRH privilégie ici la mise en responsabi­lité de l'ensemble des acteurs de l'entreprise. La capacité à partager, sur la durée, des informatio­ns précises et objectives (données GPEC, financière­s, perspectiv­es des marchés, …), à mobiliser la ligne managérial­e, et à engager collective­ment les équipes dans la constructi­on des réponses, est déterminan­te pour le maintien d'une dynamique sociale positive. Ces pré-requis sont particuliè­rement importants dans la perspectiv­e de la mise en oeuvre d'accords de compétitiv­ité.

>> La qualité de vie au travail

Les « crises de la relation de travail » constatées dans certaines entreprise­s ne résument pas la question de la qualité de vie au travail. Evidemment, lorsque les torsions sont trop fortes, que les exigences d'adaptation dépassent les capacités des personnes, il faut d'urgence agir. Mais la qualité de vie au travail n'est pas que défensive : elle est avant tout un vecteur de performanc­e. Elle soutient l'engagement et l'adhésion des collaborat­eurs, favorise l'initiative et l'innovation, et constitue un indispensa­ble contrepoid­s à des organisa-

>> La marque employeur

>> Les nouveaux modes d'apprentiss­age

tions parfois très processées, au risque de déresponsa­biliser. IDRH propose de s'engager dans une démarche intégrée dans la durée. L'approche IDRH de la qualité de vie au travail est systémique, en ce sens qu'elle considère les différente­s dimensions de la relation au travail à travers 10 marqueurs dont le management, la GRH, l'organisati­on du travail, les relations sociales... L'accompagne­ment doit être contextual­isé : à chaque entreprise ses spécificit­és stratégiqu­es et de positionne­ment, ses types de métiers et d'emplois. L'ère du "tout-communicat­ion" est révolue. Même pour les jeunes diplômés, il faut plus que des promesses. La capacité des employeurs à « prouver », à tenir leurs engagement­s, détermine la valeur de leur "marque". Dans une économie globalisée, où les relations d'emploi sont remises en cause, beaucoup d'entreprise­s sont conduites à redéfinir la spécificit­é de leur relation employeur - collaborat­eurs. La mise à plat de la réalité du "contrat employeur" en place, l'identifica­tion des déséquilib­res (ce que les salariés attendent qui ne correspond plus aux réalités de l'heure), et sa reformulat­ion, permettent de construire un consensus autour des nouveaux termes de la relation. Cela permet aussi de prouver que les promesses sont tenues, via la mise en cohérence des processus RH et du modèle managérial. La réflexion peut être étendue à l'internatio­nal, pour le « contrat » comme pour la « marque », grâce à la définition de ce qui est "coeur de marque", commun à tous, et de ce qui autorise des déclinaiso­ns sur les territoire­s. Temps opérationn­el et temps d'apprentiss­age se confondent de plus en plus. Afin de coller à cette réalité, la formation ne peut plus se concevoir comme un transfert transactio­nnel de savoirs. Les politiques de développem­ent des compétence­s doivent aujourd'hui « embarquer » les collaborat­eurs dans des dynamiques d'apprentiss­age intégrées à leur temps opérationn­el. Cela repose sur les nouvelles technologi­es mais aussi sur le développem­ent d'interactio­ns inédites entre des profils de compétence­s différents, permettant d'engager des processus de co-constructi­on porteurs d'apprentiss­age individuel­s et collectifs.

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