Travaux finis mais pas encore de terminus L’ex-benjamine de l’équipe enseignante est devenue directrice

C’est fait. Depuis vendredi soir dernier, la totalité des rues impactées par les travaux du chronobus, réalisés par Nantes Métropole, sont rouvertes à la circulation. Comme le maire Alain Vey l’avait demandé dès avant le début des travaux, tout a été fait pour que la rentrée scolaire se passe dans les meilleures conditions (lire L’Hebdo des 25 mai et 1er juin 2017).

Reste un point noir à régler, constate le maire. « Avec le recalibrage de l’entrée de la commune côté périphérique (rue plus large et nouvel enrobé), on ne peut que constater les nombreux excès de vitesse, indique Alain

Vey. Pour l’instant, on est en réflexion quant aux mesures à prendre : multiplication de contrôles radar ou mise en place de bandes rugueuses. »

Qui ajoute : « Au niveau de la métropole, à ce jour, aucune décision n’a été prise quant au positionnement du terminus, qui pourrait, peut-être, se faire à l’arrêt de bus de la ligne 29 (arrêt Basse-Goulaine) » . Il reste encore du temps pour se décider : le chronobus sera opérationnel à la rentrée scolaire 2018. En cette rentrée, les effectifs sont stables à l’école du Grignon, avec 16 classes et 410 élèves, pour une moyenne de 26 élèves par classe. Cette rentrée est également marquée par la nomination de Nathalie Dubois comme directrice.

Arrivée à Basse-Goulaine en 1994, elle était alors la benjamine de l’équipe pédagogique du Grignon. Puis après quatre années, elle partait vers de nouveaux horizons pour finalement revenir en 2002. Nathalie Dubois assurait depuis novembre 2016 l’intérim de la fonction de directrice, suite au départ à la retraite de son prédécesseur.

« Ça y est, c’est ma pre- harmoniser pour que tout le monde s’y retrouve et que chacun connaisse sa place. »

D’autre part, « notre école est coupée en deux : dans une partie des bâtiments nous avons les CP et CE1, et dans l’autre, les autres classes. De sorte que les enfants ne se croisent jamais pendant la journée scolaire. Aussi nous voudrions multiplier les échanges entre tous en créant, par exemple, des formes de tutorat dans le cadre du projet 2018. »