Une rentrée chahutée
Des parents d’élèves mobilisés pour ouvrir des classes
147 élèves ont effectué leur rentrée à l’école publique en début de semaine. Toutefois, l’établissement a perdu un enseignant, le poste en surnuméraire à l’essai depuis trois ans.
En cette rentrée scolaire, Estelle Rousselot, directrice de l’école publique du Petit-Prince, observe une progression de l’effectif. Au total, 147 élèves boussirons vont occuper les 6 classes (dont 2 maternelles) de cette école. Retombé à 137 en 2016, l’effectif se rapproche de celui de la rentrée 2015 (148 élèves inscrits). En revanche, le poste de maître en surnuméraire pour lequel la commune était, avec celle de La Regrippière, école pilote, pour trois années, n’est pas reconduit.
En 2016-2017, la découverte de la vie de château depuis l’an 1000 était un des axes du projet de l’école. Les visites de l’Historial de la Vendée et du château de Tiffauges en furent les deux temps forts. Le fil conducteur de l’axe du projet pour 20172018 sera le jardin. « Ce sera une découverte au quotidien du potager, du jardin d’agrément, des coins nature, du développement durable » , énumère Estelle Rousselot. Cette action sera réalisée en la collaboration avec les agents munici- paux affectés aux espaces verts.
Parallèlement, le projet d’école 2015/2018 mène trois axes principaux : favoriser la réussite de tous, l’apprentissage des langues vivantes pour une ouverture au monde et la production d’écrits. L’équipe enseignante va se mobiliser pour lui trouver une suite pour la rentrée 2018. Lydia Chiron, enseignante, va suivre de près un projet sur deux ans : Erasmus plus. Celui-ci consiste en des échanges avec d’autres écoles européennes.
Les TAP reconduits
Par ailleurs, les TAP (temps d’activité périscolaire), facultatifs, sont reconduits pour cette nouvelle année. Les jours et heures sont inchangés, à savoir les lundi et jeudi de 13 h 30 à 14 h et les mardi et vendredi de 15 h 15 à 16 h 15, ainsi que le tarif de 50 € par élève.
Estelle Rousselot rappelle également qu’il existe depuis trois ans « un espace numérique de travail : E-primo » . « Les élèves, grâce à un code, ont accès aux leçons, à l’écoute de documents en anglais, à l’apprentissage de rédaction et lecture de mails, à la production d’écrits… » , indiquet-elle. Ce site est à la disposition des parents.