L'Officiel de La Franchise

Deux franchisés Zoé Confetti témoignent

- Innocentia AGBE FRANÇOIS DEHON, franchisé à Montélimar.

Olivier Doussin était artisan, peintre-décorateur à son propre compte avant de rejoindre l’enseigne Zoé Confetti. Il a exercé ce métier pendant 7 ans. Puis, il a eu envie de changement. Ce besoin trotte dans sa tête un moment, avant qu’il ne décide de se lancer dans une nouvelle aventure, inspiré par ses parents : “Ils ont un magasin Centrakor, qui appartient au même groupe que Zoé Confetti. C’est eux à l’époque qui m’ont parlé de cette nouvelle enseigne”. Olivier Doussin est séduit. “C’était jeune, bien conçu et pensé. Et puis, l’enseigne tourne autour de tout ce qui touche aux événements festifs. Je trouvais cela intéressan­t”, explique-t-il. Avant de vraiment sauter le pas, il décide d’abord de travailler dans des magasins Zoé Confetti. Il fait des déballages de carton, de la mise en rayon, etc. Il en fréquenter­a deux : “Je vou- “Je connais les personnes qui sont à l’origine du concept Zoé Confetti. Quand elles m’ont parlé de ce projet, j’ai tout de suite signé”, déclare François Dehon, franchisé de l’enseigne à Montélimar (26). En fait à l’époque, il est déjà franchisé de l’enseigne Centrakor (elle appartient au même groupe que Zoé Confetti). Il ne s’agit donc pas d’un novice dans le monde de la franchise. C’est entre autres le potentiel du secteur qui l’attire : “C’est quelque chose d’assez nouveau. Le marché de la fête est en pleine évolution. Pour l’instant, il n’est pas encore arrivé à maturité. Peu d’enseignes sont sur ce créneau, notamment en franchise”. Cela va bientôt faire 3 ans qu’il s’est lancé dans l’aventure. Avec le recul, il est satisfait de son choix, même si le démarrage prend plus de temps que dans d’au- tres enseignes : “Ce sont des produits dont les gens ne connaissen­t pas l’existence. Dans le concept Zoé Confetti, une grosse partie des objets sont tournés vers la table de fête. Comme ce n’est pas forcément connu, il faut créer le besoin”. Ainsi, son plus gros challenge est de faire venir les clients à son point de vente pour qu’ils se rendent compte de ce que le magasin propose. Une tâche à laquelle il s’attèle, tout en regardant vers l’avenir : “Le magasin est à maturité. Si nous avons la possibilit­é d’en ouvrir un autre, on le fera”, explique-t-il. Même s’il convient que cela n’est pas forcément aisé en termes d’investisse­ment : “Ce sont quand même des magasins qui nécessiten­t une trésorerie importante pour se lancer”. lais voir comment un point de vente fonctionna­it, et commencer à connaître la marchandis­e, les produits, les fournisseu­rs”, etc. À côté de cela, il visite plusieurs magasins. Aujourd’hui, cela fait tout juste un an qu’il est installé dans son propre point de vente à La Roche-sur-Yon (85). Il est satisfait de son choix, même si cette première année lui a aussi montré qu’il allait devoir construire les choses avec patience : “Il faut se faire connaître. Cela met un peu de temps, mais les choses avancent petit à petit. On fait de la publicité, on participe à des salons de mariage, etc.”, illustre-t-il. Pour l’avenir, il espère “se développer avec le bouche-à-oreille et grâce à la qualité des services que son point de vente apporte aux clients”.

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