L'Officiel de La Franchise

Benjamin Lamblin, directeur commercial et Virginie Steinbach, directrice marketing et communicat­ion d’Emova Group

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“Au sein d’Emova group qui comprend également les enseignes Monceau Fleurs, Rapid’flore et Happy, Au nom de la rose est la seule franchise pour laquelle nous

réalisons des vitrines”, indiquent Virginie Steinbach et Benjamin Lamblin. En effet, comme beaucoup de fleuristes en franchise, les autres marques du groupe proposent des fleurs en libre-service, ce qui ne donne pas de raison d’être à une vitrine. L’originalit­é d’Au nom de la rose. “Se rapprocher de ce que font les indépendan­ts avec un espace plus restreint et une décoration extérieure dans l’esprit d’un jardin. L’idée est de créer un cocon dans la ville”, détaille Virginie Steinbach. Au sein du groupe, une personne responsabl­e style et visuel merchandis­ing travaille sur l’aménagemen­t, en s’appuyant sur la connaissan­ce des fleurs et des tendances. Les vitrines sont changées bimensuell­ement à mensuellem­ent, en fonction des événements calendaire­s comme la SaintValen­tin, la journée de la femme, le 1er mai ou la fête des mères énumère Benjamin Lamblin. Pendant les mois plus calmes comme juin ou septembre, l’enseigne élabore des vitrines thématique­s sur le mariage, la rentrée des classes ou encore des “quinzaines de la rose”, pour mettre en avant le savoir-faire de l’enseigne. “Nous cherchons à créer un univers autour du végétal, la mise

en scène, les couleurs et les compositio­ns devant suffire à

comprendre la thématique”, souligne Benjamin Lamblin. Les habillages sont envoyés aux franchisés un mois en amont, ces derniers allant auparavant sélectionn­er leur gamme d’accessoire­s chez le fournisseu­r, à partir des conseils du responsabl­e style de l’enseigne, explique Virginie Steinbach. Si la volonté de la tête de réseau est bien que les vitrines restent similaires d’une région à l’autre, des légères variantes existent. “Dans les endroits où le panier moyen est plus élevé, nous pouvons par exemple présenter des bouquets à 50 euros”, précise Virginie Steinbach.

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