A la conquête des marchés américains et asiatiques
En délocalisant son site et en dépoussiérant son image, l’entreprise Monbana ne cache pas son souhait de se développer à l’export.
Se développer à l’export
Sur ce site de 3000 m2, l’entreprise se sentait aujourd’hui à l’étroit pour atteindre ses objectifs, à savoir dans un premier temps, celui de développer son volume de production qui est en moyenne aujourd’hui de 2500 tonnes de poudre chocolatée par an. « Nous sommes arrivés à saturation pour nous développer à l’export et le site ne correspond plus à l’image que nous souhaitons donner » , explique Sébastien Lerendu, le responsable industriel.
Passer de 2500 à 7000 tonnes de poudre par an
Avec son transfert et le double de superficie, l’entreprise entend monter son tonnage à 7000 tonnes annuel avec pour objectif de doubler les tonnages d’ici quatre ans.
Son objectif est d’ailleurs clairement affiché : celui de développer l’ensemble de la gamme et de s’ouvrir davantage à l’export qui représente aujourd’hui 10%.
A cet effet, l’entreprise Monbana entend partir à la conquête du continent américain et asiatique, même si la chocolaterie Monbana est déjà présente dans 60 pays.
Un nouveau système de production
Si l’entreprise Monbana se targue de ses nouveaux objectifs et d’une plus grande capacité de stockage (l’ancien site de Landivy deviendra aussi un lieu de stockage), elle s’appuiera également sur un nouveau système de production.
Elle est en effet pas peu fière de l’acquisition d’un nouveau process issu de la pharmacologie.
Un système de production qui permettra une garantie optimale sur la qualité des produits mais aussi la fabrication du sans gluten et du sans lactose.