La Marne (édition Meaux)

Une nouvelle boutique RUE DU COMMERCE. pour habiller les hommes

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C’est au 3 rue Darnétal que Ludwig Candotti, 29 ans, a ouvert début mars sa première boutique, nommée Ezom, spécialisé­e dans le prêt à porter pour hommes. « Cela faisait trois ans que j’avais cette volonté, mais je ne m’attendais pas à trouver des locaux aussi vite », avoue le gérant.

Des marques du monde entier

Le concept de la boutique : proposer des marques de qualité venant des quatre coins du monde, à la manière des grandes boutiques parisienne­s telles que le Printemps ou les Galeries Lafayette. « Je pense que c’est quelque chose qui manque vraiment à Meaux, et je suis heureux de pouvoir étoffer l’offre dans la ville. »

Ancien commercial pour des marques de prêt-à-porter, Ludwig profite de ses réseaux pour obtenir des produits parfois peu connus en France, qui côtoient les marques plus fameuses comme Fred Perry. « Le but est d’avoir un large panel. Je compte étoffer la gamme au fur et à mesure de l’année. » On trouve aussi bien des griffes venues d’Amérique, d’Europe du Nord, comme K.O.I. originaire des Pays-Bas, ou encore du Japon avec Edwin. La culture nippone a d’ailleurs inspiré le nom du magasin : « Ezom est la transcript­ion phonétique d’un caractère japonais, qui signifie le bleu indigo, la couleur classique des jeans. »

Même si le lieu offre une large place aux jeans, il ne se limite pas à eux et propose toutes sortes de vêtements. À peine a-t-il ouvert que les premiers retours sont très encouragea­nts. Mais Ludwig envisage déjà de se tourner aussi vers les vêtements pour femmes. « Il y a une clientèle féminine potentiell­e très importante, plus que je ne le pensais. »

Le tout dans un quartier en plein changement. « Il y a pas mal de nouvelles ouvertures, des commerces tenus par des jeunes. Quand les travaux seront finis, je pense que ce sera vraiment sympa pour les gens de s’y balader et d’y faire leur shopping. »

L’aventure s’est terminée samedi 18 mars pour Johann Keil. Le professeur d’économie en BTS « profession­s immobilièr­es » au lycée Henri-Moissan a laissé son fauteuil de champion du jeu télévisé « Tout le monde veut prendre sa place » après 17 victoires. Belle consolatio­n : il repart avec 17 000 euros de gain. Lui qui nous avait confié que le sport était l’un de ses thèmes favoris a été trahi par Michel Platini. Il n’a réalisé que huit points sur ce questionna­ire alors que le challenger a marqué 14 points sur le thème « Livres de science-fiction ».

Johann Keil a alors proposé 1 800 euros à son adversaire pour tenter de conserver son bien mais cette dernière a préféré s’installer sur le fauteuil rouge. Même Nagui a été surpris : « Vous aviez pourtant le profil pour rester encore plus longtemps ».

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