Un beau Grand Prix 77 MITRY-MORY.
Dimanche 7 mai, l’USJM Gymnastique a organisé les finales « poussines » du Grand Prix de Seine et Marne. 250 gymnastes et 17 clubs de toute la Seine-et- Marne étaient rassemblés pour l’un des derniers événements de la saison gymnique.
Toutes les gymnastes mises à l’honneur
Nées en 2008, 2009 ou en 2010, les jeunes filles se sont affrontées toute la journée, lors des finales par appareil. Suite à la phase qualificative du 22 avril à Savigny le Temple, les gymnastes ont en effet été sélectionnées pour la finale sur deux agrès seulement. Les deux agrès où les notes obtenues avaient été les plus hautes.
À la poutre, au sol, aux barres asymétriques ou au saut, quatre programmes imposés de difficulté croissante peuvent être réalisés. Chacun d’eux peut aussi être légèrement modifié, chaque jeune fille ayant le choix de complexifier son enchaînement par des options, ces éléments supplémentaires plus périlleux, permettant d’augmenter la note finale.
Mitry, un club dynamique
Cette compétition programmée en fin de saison, est une sorte de fête de la gym, où le plus grand nombre est mis à l’honneur. Les gymnastes s’affrontent en effet en fonction de l’année, du semestre de naissance et du programme choisi. Ce qui multiplie évidemment le nombre de récompenses. Et permet ainsi à la majorité de repartir avec une précieuse décoration autour du cou.
Autour de sa présidente Bénédicte Loze, tout un ensemble de bénévoles se mobilise pour l’organisation. Cela commence dès le samedi soir par la préparation de la salle et l’installation du matériel. Il s’agit ensuite de tenir la buvette, de s’occuper de la sono, d’accueillir les gymnastes….. Il y a même ce papa qui met en vente des agrès en bois qu’il a lui même confectionnés, afin de récolter un peu d’argent pour les différents déplacements des gymnastes. Une équipe motivée qui aime la gym et qui aime être ensemble. Quitte à multiplier les manifestations. Pas de repos en effet pour l’USJM qui accueille les finales régionales par équipe le week-end des 27 et 28 mai. On le sait, quand on aime, on ne compte pas. D.R.