10 % .
CE SERAIT LA PART
du réchauffement supplémentaire attribuable au dégel du permafrost, selon Gerhard Krinner, chercheur CNRS à l’Institut des géosciences de l’environnement de Grenoble, cité dans le quotidien Le Monde
du réchauffement supplémentaire attribuable au dégel du permafrost, selon Gerhard Krinner, chercheur CNRS à l’Institut des géosciences de l’environnement de Grenoble, cité dans le quotidien Le Monde