La République de Seine-et-Marne (Édition A-B)
VAUX-LE-PéNIL Daniel Gourdet et Vaux-le-Pénil : LIVRE. une histoire d’amour de 70 ans
Daniel Gourdet, né à Vaux-le-Pénil, dédicacera son livre sur la ville le samedi 17 février, à la médiathèque. Son récit est émaillé de souvenirs.
Daniel Gourdet, ancien directeur de la Mutuelle bleue, est né à Vaux-le-Pénil il y a 70 ans ! Il a fréquenté l’école primaire Beuve-et-Gantier, puis le collège.
Tous ses souvenirs, de 1947 à 1962, le Pénivauxois les a rassemblés dans son dernier ouvrage qui vient de paraître aux éditions Prem’Edit.
Souvenirs
Dans ce livre, Daniel décrit ce qu’était la vie à Vaux-le-Pénil à la sortie de la guerre jusqu’aux années 60, époque à laquelle il a rejoint Reims pour poursuivre ses études.
La vie scolaire, la vie au quotidien, les fêtes et les divertissements : tout y passe dans cet ouvrage truffé d’anecdotes et de souvenirs personnels.
« À mon âge, j’ai voulu laisser une trace écrite de ce qu’ont été mes jeunes années à Vaux-le-Pénil, raconte l’auteur. Mes grands-parents se sont installés à Vaux en 1923 et ma grand-mère a tenu pendant 10 ans le café Au rendezvous des chasseurs.
Mon père était ouvrier d’usine et ma mère femme au foyer. Nous n’étions pas riches, comme toute la population pénivauxoise, très rurale et de condition modeste, mais nous étions heureux ! »
Photos et illustrations
L’auteur a agrémenté ses textes d’illustrations et photos exclusives provenant de sa col- lection personnelle ou aimablement prêtées par des témoins de l’époque.
En 1945, Vaux-le-Pénil comptait 1 500 habitants, un chiffre multiplié par 8 en 2017 !
« En lisant mon livre, les Anciens pourront y revivre un peu de leur jeunesse et les plus jeunes y découvrir un monde anachronique et pourtant si proche d’eux », explique encore Daniel.
Daniel Gourdet présentera et dédicacera son livre « Vaux-lePénil et moi » à la médiathèque de la ville, le samedi 17 février, de 10 h 30 à 12 h.
Le livre est aussi disponible à la librairie Vaux-Livres, 13, rue des Ormessons.
a annoncé Françoise Lefebvre, maire de Rubelles, lors de ses voeux.
Il faut dire que la faïence de Rubelles est très connue et cotée chez les collectionneurs. La maison de la faïencerie permettra de rappeler l’époque de sa fabrication aux visiteurs.
L’entrée de ville va aussi se transformer : la pointe sud va être plantée en périphérie dans une ambiance forestière (avec le projet d’un cityparc en 2019). Le quartier des 3 Noyers connaîtra le début des tranches 2 et 3 où
« Nous allons étudier la possibilité d’installer un self, à la fin de 2018, à l’école où retour à la semaine des 4 jours a été choisi par les parents d’élèves, a rappelé l’élue.
Un accueil de loisirs sans hébergement sera créé le mercredi et une réflexion va se faire avec Maincy pour un accueil partiel pendant les petites vacances» .