Satellites de Saint-Émilion
(59 vins dégustés, 12 vins retenus)
Nous avons été plus séduits par les saint-georges et les puisseguins que les lussacs et les montagnes ; l’exigüité, et donc l’homogénéité, de leur aire d’appellation y a sans doute contribué. L’ensemble des échantillons présentés s’avère net et sans défaut. Toutefois, il leur manque de la chair et du volume comparativement à 2010 et même du fruit par rapport à 2012. Les meilleurs vins résultent de tris intensifs à la vigne et d’interventions (macérations, remontages, pigeages) minimalistes au chai.