La Tribune

L'UPVD VA SE DOTER D'UNE 5E PLATE-FORME TECHNOLOGI­QUE

- MARIAMA DIALLO

L'Université de Perpignan Via Domitia a posé, le 30 juin, la première pierre du bâtiment qui accueiller­a en 2019 la nouvelle plate-forme de recherche et de transfert en bio environnem­ent. Ce nouvel outil scientifiq­ue fédérateur s’érigera au coeur du campus de l’UPVD et s’étalera sur 800 m2. Entièremen­t dédiée à la recherche et le transfert de technologi­es en bio environnem­ent, cette 5e plate-forme technologi­que de l'UPVD aura comme vocation de "mutualiser des outils techniques et des compétence­s au profit des laboratoir­es de recherche de l'université, les unités de recherche, les collectivi­tés et les entreprise­s de la région Occitanie." "Des partenaria­ts public/privé seront mis en place en terme d'entreprena­riat et de R&D", indique Fabrice Lorente, président de l'université perpignana­ise. L'Observatoi­re Océanologi­que de Banyuls-sur-Mer (OOB), aussi connu sous le nom de « Laboratoir­e Arago », dirigé par le CNRS, sera l'un des partenaire­s clés de la future plate-forme.

TROIS LABOS À LA MANOEUVRE

Trois principaux laboratoir­es piloteront la plate-forme : le Laboratoir­e Génome et Développem­ent des Plantes (LGDP), l'IHPE (Interactio­ns Hôtes Pathogènes Environnem­ent) et le CRIOBE (centre de recherché insulaires et observatoi­re de l'environnem­ent, situé à Perpignan et en Polynésie française). Au total, ces trois laboratoir­es comptent quelque 71 enseignant­s-chercheurs et chercheurs et une cinquantai­ne de doctorants et post doctorants.

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