WIKO SE REORGANISE POUR RESISTER
La marque de téléphonie, née à Marseille, mais désormais sous pavillon chinois, a annoncé l'ouverture d'une négociation portant sur la mise en place d'une rupture conventionnelle collective sur la base du volontariat des collaborateurs. Une façon dit la PME, de s'adapter à un marché ultra-concurrentiel.
Alors que le Mobile World Congress vient tout juste de fermer ses portes, l'annonce par Wiko de sa réorganisation sonne comme un élément significatif de ce que subit le marché actuel de la téléphonie.
La marque née à Marseille a en effet annoncé l'ouverture d'une négociation portant sur la mise en place d'une rupture conventionnelle collective sur la base du volontariat des collaborateurs. Une nouvelle étape, dit la société qui doit lui permettre d'alléger la structure actuelle et d'être ainsi davantage en adéquation avec les défis actuels.
LANCEMENT SUR LE MARCHÉ NORD-AMÉRICAIN
Pourtant, lors du rendez-vous de Barcelone en février dernier, Wiko avait annoncé la sortie de deux nouveaux produits, Wiko View3 et Wiko View3 Pro, des nouveautés au design retravaillé pour être plus attractifs. Elle avait également annoncé son arrivée sur le marché nord-américain via l'opérateur Sprint et l'ouverture d'un bureau à Dallas et Atlanta.