"IL N'Y A PAS D'AFFAIRE FERRAND", DIT CASTANER. L'OPPOSITION VEUT UNE ENQUETE !
Il n'y a pas d'affaire Richard Ferrand, a déclaré vendredi le porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, excluant une nouvelle fois la démission du ministre de la Cohésion des territoires fragilisé par les révélations du "Canard enchaîné". >> Papier mis en ligne le 26 mai 2017 à 13h18 | Mise à jour à 17h04 "Il y a un débat Ferrand, il n'y a pas une affaire Ferrand", a-t-il dit sur franceinfo, ajoutant que ce qu'on reproche à ce soutien de la première heure d'Emmanuel Macron ne "relève absolument pas d'une illégalité quelconque". La publication par le Canard enchaîné de révélations sur les anciennes activités professionnelles de Richard Ferrand et l'emploi d'assistant parlementaire dont a bénéficié son fils, ont entraîné des appels à la démission du ministre, notamment de la part de la présidente du Front national Marine Le Pen. Édouard Philippe apporte son soutien à son ministre dans la tourmente. "Richard Ferrand a ma confiance", a assuré le Premier ministre. Mais pour celui-ci, c'est aux électeurs qu'il reviendra de trancher, lors des élections législatives, auxquelles Richard Ferrand est candidat à sa propre succession aux législatives : "Ce sera le juge de paix".