CRISE EN CATALOGNE : LA BELGIQUE, SEULE CONTRE TOUS
Alors que le gouvernement espagnol est déterminé à suspendre les pouvoirs du gouvernement catalan, tous les dirigeants européens se sont rangés derrière Madrid. Tous sauf un : le Premier ministre belge Charles Michel, qui faut-il le rappeler s'est offusqué publiquement des violences policières du 1er octobre - ce qui a "sutpéfait" les autorités de Madrid-, est le seul à appeler au dialogue et à la modération. Un article de notre partenaire Euractiv. Officiellement, la Catalogne n'est pas au programme du sommet européen, mais en réalité, en ce premier jour de sommet du 19 octobre, la question dominait toutes les autres, ont révélé plusieurs sources. La chancelière allemande Angela Merkel et le Premier ministre du Luxembourg, Xavier Bettel ont bel et bien confirmé que la Catalogne ferait l'objet de discussions et le Premier ministre bulgare, Boïko Borissov a déclaré que Mariano Rajoy avait informé les autres dirigeants de la situation.
SOUTIENS DE MERKEL ET MACRON À L'ACTION DE RAJOY
Angela Merkel et le président français, Emmanuel Macron, se sont aussi rangés derrière le Premier ministre espagnol, Mariano Rajoy, alors que l'Espagne se retrouve dans l'impasse politique face à la volonté de la Catalogne de déclarer son indépendance.