LANZAC L’Esquirol tient son AG
Samedi 20 janvier, l’association l’Esquirol avait convié ses membres pour son assemblée générale annuelle à la salle des fêtes de Lanzac.
Près de 80 membres ont répondu à l’appel des dirigeants qui ont délivré pendant près de deux heures, leur rapport moral et financier ainsi qu’un bilan de toutes les activités proposées tout au long de l’année.
Et à l’Esquirol, ça rigole. Enfin oui et non. Ça rigole parce qu’à Lanzac, il y a toujours une bonne ambiance, et ça ne rigole pas tant que ça, parce que comme toutes les associations de Lanzac, les organisations sont millimétrées et on ne laisse rien au hasard. Alors forcément ça prend des proportions toutes lanzagaises…
Un succès fou !
Ils n’étaient que 128 adhérents fin 2016, les pauvres, pas de problème, pif paf, 190 adhérents fin 2017 malgré 9 départs. Évidemment, ça commence à faire lourd. Surtout si on rapporte ce chiffre aux 600 et quelques habitants de Lanzac. En fait, parmi les adhérents on ne compte que 56 habitants de Lanzac, 54 viennent de Souillac et 80 viennent de… 24 autres communes.
Il faut dire que le programme des activités proposées est relativement fourni avec des ateliers de danse (en ligne), de peinture, d’informatique, de cuisine, sans oublier le scrabble, la randonnée et bien sûr la chorale « Esperanza » créée en 2015 et qui compte déjà 32 chanteurs.
Et puis il y a aussi les sorties spectacles (Rocamadour, Saint Céré, Brive) à tarif réduit, les journées découvertes (Visite de la Grotte de Pech Merle et du château de Cénevières), sans oublier les thés dansants de mars et de novembre (entre 124 et 148 entrées), le repas de Noël, le repas des vacances (juin), le vide grenier du mois de mai, la fête de la musique… En veut-tu en voila…
Moralité, on mange au moins autant à Lanzac qu’à Souillac ; les ateliers sont quelque peu saturés et il y a déjà des listes d’attente ici ou là… La rançon d’un succès que les dirigeants vont prendre en compte pour mieux répondre aux attentes de leurs membres.
Il va sans dire que le rapport moral a été voté à l’unanimité (et applaudi), qu’il en a été de même pour le rapport financier (puisque les finances sont saines) avec, on le soulignera quand même, le soutien financier de la mairie de Lanzac…
Bref, nous sommes partis avant la fin car le devoir nous appelait ailleurs, en plein milieu des exposés des différents ateliers, sans avoir pu profiter de la galette des rois. Un de ces moments de convivialité dont l’Esquirol a le secret… Chut, ça risque de se savoir.