Des élections législatives au résultat très incertain
Après avoir été battu aux dernières élections sénatoriales et législatives, Vincent Descoeur (LR), 54 ans, a décidé de repartir au combat. Il sera candidat « de la droite et du centre » sur la première circonscription du Cantal. Une envie qui remonte de longue date… Pour sa part, il souhaite « tourner la page du quinquennat désastreux de François Hollande » et par là même un petit tacle à Alain Calmette, actuel député : « il devait y avoir une proximité avec la Président de la république, il semble qu’elle n’ait pas
été mise à profit pour le Cantal. » Et de poursuivre, je souhaite être un député actif sur le terrain, et être le porte-parole de cette France rurale qui est oubliée. »
S’il souhaite que son parti puisse avoir une majorité à l’Assemblée nationale, il promet d’être dans une opposition constructive si le mouvement d’Emmanuel Macron était majorité dans cette même Assemblée.
Pour l’accompagner dans cette campagne, il aura comme suppléante, Angélique Brugeron. Cette dernière, âgée de 33 ans, est conseillère municipale à Aurillac au sein de l’opposition.
Conseillère en formation sur le haut débit, cette Aurillacoise souhaite mettre en avant « les questions liées à l’éducation, à la sécurité qui ne doit pas être un sujet tabou. Il y a aussi la question de la formation, un sujet qui me tient à coeur, mais également la question de l’aménagement du territoire. Je pense notamment à la ligne aérienne Aurillac-Paris où l’on ne doit pas avoir une épée de Damoclès chaque année, il faut la pérenniser. »