Samedi 13 janvier
. Le club Soroptimist d’Aurillac propose sa prochaine soirée courtsmétrages samedi 13 janvier à 20h à l’espace Hélitas. Comme toutes les séances de cette année, les bénéfices seront reversés pour la lutte contre l’endométriose précisément à un programme de recherche via la Fondation pour la recherche médicale. Entrée : 8€. Ouvert à tous. 6 courts-métrages seront présentés, parmi eux 3 films primés lors du festival du court-métrage de Clermont-Ferrand 2017.
«Goût bacon» d’Emma Benestan. À la suite d’une rumeur lancée à cause de la diffusion d’un snapchat au contenu ambigu, deux amis, Bilal et Adil, se mettent en quête de filles pour sauver leur réputation. Mais le chemin est loin d’être celui qu’ils avaient imaginé.
«Le Grand Bain» de Valérie Leroy. Mia, trente ans, en instance de divorce, emménage dans un studio au sein d’une résidence HLM. Ancienne championne de natation, elle va se retrouver à donner des cours de natation aux habitants de l’immeuble. Sans piscine.
«Panthéon discount» de Stéphan Castang. En 2050, la médecine est remplacée par une machine : le Sherlock, sorte de super scanner qui non seulement diagnostique mais soigne également suivant les moyens du patient. Le docteur n’est plus qu’un conseiller financier qui propose des assurances, des mutuelles et des solutions plus ou moins radicales.
«Totems» de Paul Jadoul, film d’animation. Un bûcheron qui travaille en forêt dérape, et tombe avec sa tronçonneuse. Un arbre s’écrase sur sa jambe et l’immobilise. La détresse réveille alors l’animal caché en lui. Progressivement, il se transforme en diverses bêtes sauvages pour tenter de se dégager.
«Le Bleu, Blanc, Rouge de mes cheveux» de Josza Anjembe. À dixsept ans, Seyna, une adolescente d’origine camerounaise, se passionne pour l’histoire de la France, le pays qui l’a vue naître et dont elle est profondément amoureuse. Son baccalauréat en poche et sa majorité approchant, Seyna n’aspire qu’à une chose : acquérir la nationalité française. Mais son père, Amidou, s’y oppose farouchement.
«L’avenir est à nous» de Benjamin Guillard. Louis et Maxime ont quarante ans d’écart et les mêmes soucis. Dans la jungle parisienne, il s’agit de trouver un toit. Voire un avenir. . Le marché couvert propose un nouveau rendez-vous à la cuisine pédagogique. Samedi 13 janvier, les Jeunes Agriculteurs du Cantal feront découvrir leurs plats cuisinés «Made in Cantal» (charcuteries sèches, blanquettes, marinade au vin…). Cette initiative vient compléter le projet collectif qu’ils ont lancé il y a quelques semaines via la plateforme Miimosa.fr, pour réaliser des plats cuisinés à partir de jeunes bovins des volcans, nés dans le Cantal, élevés dans le Cantal et transformés dans le Cantal.