3 QUESTIONS À JEAN-MARC WARLIER
tout le « vélo plaisir ». On ne regarde pas la montre, on profite. Nous sommes ouverts à tous les niveaux, pour faire du vélo sans contrainte.
Et pour 2018, quels sont vos projets ?
Maintenir nos effectifs et si possible, faire grimper le nombre de licenciés dans nos clubs. Surtout, notre objectif est de développer encore plus le tourisme à vélo dans le Cantal. L’année passée, nos différents séjours à destination des curieux d’ici et d’ailleurs ont convié plusieurs dizaines de cyclotouristes. Notre territoire dispose d’atouts indéniables et de magnifiques paysages. À nous d’améliorer encore l’accès et le développement de certaines zones.
Des freins vis-à-vis de ces projets ? D’autres éléments à nous communiquer ?
L’un des plus importants et non des moindres, le manque chronique de bénévoles. Il est parfois très compliqué d’organiser certaines manifestations… Toutefois, il serait possible qu’en 2018, deux nouveaux clubs nous rejoignent, mais rien n’est encore sûr. Un point important à ajouter, c’est que nous sommes ouverts à tous, petits, grands, jeunes, moins jeunes et qu’il ne faut pas hésiter à rentrer en contact avec nous. Nous ne sommes pas là pour performer et réaliser 100 km en une heure, mais pour découvrir le territoire mais aussi la gastronomie locale !