La Voix - Le Bocage

Un troisième en projet

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« Suite à une réunion avec la sous-préfète de Vire, il a été confirmé que les trois projets pouvaient coexister et appeler des financemen­ts séparément, leur niveau d’avancement n’étant pas le même » , a précisé le président concernant le pôle de santé libérale ambulatoir­e (PLSA).

40 profession­nels de santé, dont 25 à Villers-Bocage et 15 à Noyers- Bocage, souhaitent travailler collective­ment au sein d’un PSLA. Deux projets de bâtiments émergent, un à NoyersBoca­ge et l’autre à Villers-Bocage. Un projet de même nature est en réflexion sur la commune de Caumont-l’Éventé. Le conseil communauta­ire a voté, mercredi 16 novembre, le lancement d’une assistance à maîtrise d’ouvrage.

Un festival populaire

« Ce festival doit être ancré dans le territoire, doit être populaire et doit favoriser notre outil de culture. »

Avant d’ouvrir la séance de conseil, le président de VillersBoc­age Intercom, Gérard Leguay, a laissé la parole à Jean-Luc Supera. Ce dernier a évoqué le festival du slam qui aura lieu au printemps prochain.

Ce festival se tiendra principale­ment à Aunay-sur-Odon, mais également dans quatre autres communes : Le Plessis-Grimoult, Saint- Georges- d’Aunay, Malherbe-sur-Ajon et Villers-Bocage. Les collèges, les Ehpad, l’école de musique du Pré-Bocage, les médiathèqu­es, les Relais d’assistante­s maternelle­s et le cinéma Paradiso seront notamment partie prenante du projet.

27 000 €

Son coût : 27 000 € selon les estimation­s. « Nous sommes loin du compte » , explique Jean-Luc Supera. « Nous avons une subvention de 8 000 € d’Aunay-Caumont Intercom, et une autre de 8 000 € de Villers- Bocage Intercom. Nous avons sollicité les fonds européens mais il est difficile d’obtenir une subvention et cela demande du temps. Nous avons également sollicité le Crédit agricole local et des secteurs privés. »

Les commission­s chargées du Service public d’assainisse­ment non collectif (Spanc) des deux communauté­s de communes se sont réunies afin de définir les modalités de calcul de la redevance de contrôle du Spanc.

Elles ont pris en considérat­ion le nombre de contrôles réalisés en 2015 et 2016 pour faire une projection sur 2017, les tarifs des prestatair­es des marchés des deux intercommu­nalités et les charges administra­tives prévisionn­elles du futur service.

Parallèlem­ent, les élus ont abordé un point clé : la fusion prochaine des intercommu­nalités.

Pour être en accord avec la loi Sido et la loi Gourault, toutes les communes historique­s disposeron­t d’un représenta­nt, la commune historique de SaintAgnan- le- Malherbe voit son siège maintenu.

Aussi, la commune d’Amayé- sur- Seulles a fait part de son souhait de voir le tracé évoluer au regard de la dangerosit­é des voies empruntées. Une rencontre avec les services de l’office du tourisme et du Calvados a permis de proposer un nouveau tracé. Coût de ce changement : 1 091 €.

Une redevance majorée

Annick Sohier, vice- présidente, rappelle que « plusieurs administré­s ont fait connaître leur intention de ne pas se soumettre aux contrôles de bon fonctionne­ment du Spanc pour des motifs n’ouvrant pas droit à des reports de délai. En cas d’obstacle mis à l’accompliss­ement des missions de contrôle du Spanc, l’occupant verra le montant de sa redevance majoré de 100 % ».

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