Les karatékas USM VIRE. de plus en plus nombreux
Mardi 30 mai, l’ambiance était studieuse au Dojo de la MJC de Vire. Les karatékas présents passaient leurs ceintures, afin de passer à un grade supérieur. Mais l’actualité la plus récente du club, c’est la participation dimanche 28 mai à l’interclubs d’Aunay-sur-Odon, un rendez-vous qui gagne en prestige chaque année. « C’est un rendez-vous qu’on a pris car les compétitions sont souvent loin et ce genre de compétition permet de faire un baptême du feu pour les combattants, » explique Béranger Ruault Instructeur du club de karaté.
Et des nouveaux compétiteurs il y en avait deux, Saïd Chawich dans la catégorie minime et Charles Brisset chez les séniors dans la catégorie léger. Pour Saïd, baptême réussi avec une médaille de bronze autour du cou en combat et en kata. Charles Brisset lui a remporté également le bronze. Au total, ce sont septs combattants qui se sont alignés à Aunay-sur-Odon, trois en kata et six en combat.
Le plus jeune de cette délégation, Marceau Betton-Foucault a fini 1er en benjamin, au prix d’un combat pas évident. Il a en effet été aligné face à quelqu’un de plus vieux et de plus fort, mais n’a pas démérité selon son instructeur. Son frère, Dorian a brillé dans la catégorie cadet en remportant à la fois le combat et le kata. Pour finir du côté des adultes Béranger Ruault a fini 3e en séniors moyen et en open. Patrick Touyon a fini 1er en Kata.
Un beau tournoi pour les Virois, d’autant que des grands noms étaient présents, notamment dans la catégorie de Béranger Ruault. « Il y avait un participant du club de Vernon, un club qui compte plusieurs internationaux et donc il s’est un peu baladé. Mais je ne pense pas qu’ils viennent pour ça, je pense qu’il sait que l’interclubs d’Aunay-surOdon s’améliore d’année en année. »
12 compétiteurs
Sur les 24 membres du club, 12 ont choisi cette année de faire de la compétition, un chiffre qui ne cesse de progresser. « C’est vraiment une satisfaction pour nous, et c’est le fruit d’un créneau mis en place exprès pour les compétiteurs, » explique Béranger Ruault. Un nombre qui ne demande qu’à s’agrandir avec la venue de nouveaux combattants. « Tout le monde peut venir essayer et se renseigner. »