La Voix - Le Bocage

Quelques anecdotes

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école Saint-Joseph

L’Abbaye. En 1851, le père Foucault ouvre dans les locaux, de ce qui deviendra plus tard l’Abbaye, une école primaire de garçons avec pensionnat. Chocolater­ie. Après une fermeture en 1904, l’école ouvre rue Coulouet en 1908, devenue rue Xavier Onfray. En 1909, sous la direction d’Albrecht, l’école est transférée Boulevard du Nord, dans la cour de l’actuelle chocolater­ie.

Héritage. En 1925, Madame Lelogeais lègue sa fortune et sa maison (l’actuelle mairie), pour que l’école libre de garçons y soit installée à sa mort, en 1934. Selon sa volonté, l’école portera le nom

« École Saint-Joseph ».

Pupitres brûlés. En 1937, les classes sont chauffées par un poêle allumé tous les matins par les élèves qui habitent le plus loin de l’école. Pour ne pas avoir froid, les enfants placent leur bureau le plus près possible du poêle, beaucoup de ces pupitres ont une marque de brûlure.

Collège Saint-Rémi

Statue. En 1898 : la statue du Sacré-Coeur au milieu de la cour d’honneur est inaugurée.

Tempête. En 1930, une forte tempête abat les arbres des bosquets. Ils sont remplacés par des sapins qui tomberont à leur tour lors de la tempête de 1999.

Multifonct­ions. Le 11 juin 1944, évacuation forcée : l’école est réquisitio­nnée par l’armée allemande pour être hôpital militaire ambulant, et un mois plus tard, la maison devient centre d’accueil pour les réfugiés du Calvados.

Incendie. 1950 : dans la nuit du 1er au 2 mars, un tablier glisse négligemme­nt sur une chaufferet­te et déclenche un incendie dans les locaux.

Ménagère. En 1951, la Maison familiale d’apprentiss­age ménager agricole est ouverte au-dessus de la classe enfantine. On y enseigne le repassage, la coupe, la couture, le raccommoda­ge, la comptabili­té ménagère, l’éducation familiale et des cours agricoles.

Ferme. Vers 1952, SaintRemi possède sa ferme sur la cour rue Xavier Onfray avec poules, carnards et cochons et même une vache « Miss Printemps ». Soeur Joly se trouve un soir entre le devoir d’assister aux vêpres et celui d’assister « Miss Printemps » qui allait vêler. On retiendra la phrase de la directrice Mme Garnier, « ma vache d’abord ».

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Photo d’archives.

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