Les Forgions de la télé ont mis le feu

Quarante-cinq jardiniers occupent les terrains et quatre demandes supplémentaires ont été faites dernièrement.

Il reste néanmoins des parcelles de 100 et 200 m2 disponibles à louer.

Les comptes présentés affichent un total de recettes de 8 930 € et de 3 590 € en dépenses. Un tracteur-tondeuse neuf et une table forestière ont été achetés en 2017. Une nouvelle balançoire va bientôt être installée. Des robinets d’eau vont être changés.

La peinture des portes des cabanes de jardin est prochainement prévue.

Manque de civisme et vols

Les problèmes de vols, de vandalisme, de cadenas et de clés sont récurrents. Civisme semble être le mot-clé des échanges verbaux entre membres du bureau et adhérents. L’eau est parfois gaspillée. Le tas de compost à vocation de terreau contient des matières plastiques. Lorsque des jardinets sont délaissés, les mauvaises herbes qui y poussent contaminent par leurs graines ou racines les parcelles voisines.

Chacun attend avec impatience le retour des beaux jours.

Les 43 comédiens, enfants, adolescents et adultes, ont enflammé la salle comble lors des deux représentations, par une série de 15 tableaux pastichant les émissions télévisées.

Frédéric Lemarié, dans ses précédentes créations, avait habitué le public brayon à un humour ciselé empreint de jeux de mots tranchants, parfois moralisateurs. Les vieilles télévisions ont implosé d’humour, le public a explosé de rires.

Reprise de Qui perd perd

Ces deux soirées n’ont été que divertissements, costumes décalés, situations comiques, danses et chansons ! Les adultes, en introduction, ont rendu un hommage humoristique à Johnny. Ils ont ensuite parlé de la télé des années 30. Ils ont joué à Qui perd perd, Tournez ménage et Ça te barbera.

Télé magouille revue et corrigée

Les ados ont repris à leur façon le mémorable sketch de Coluche, Le schmilblick et présenté les émissions Télé magouille et La télé du matin. Les enfants, au bord du fou-rire, ont singé l’intelligence des footballeurs. Les mains sur le coeur, les (télé) spectateurs ont entonné avec eux une patriotique Marseillaise.

Au final, les acteurs ont enflammé les planches. Lunettes noires et blousons de cuir de la même couleur, les acteurs ont chanté Allumer le feu.

Au moment des saluts, les auditeurs en standing ovation et des flammes dans les yeux, ont repris a cappella cette sulfureuse chanson en reprenant ces vers : « Laisser derrière toutes nos peines ».