Le Courrier de Mantes

Remise des clés aux premiers habitants des Belles Côtes

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C’est en particulie­r le cas pour Janine, venue de Seine-Saint-Denis (93), qui a été la toute première à emménager, à la grande satisfacti­on de ses enfants et petits-enfants, qui habitent Freneuse et Bonnières :

« Pour nous, c’est une vraie chance, Janine ne pouvait plus vivre seule chez elle, elle tombait. Ici, c’est vraiment idéal, une très belle installati­on. »

Encore des places disponible­s

Les vingt studios et le T2 sont accessible­s uniquement aux personnes âgées habitant dans la Communauté de communes, ou dont les enfants habitent dans la communauté.

De fait, un habitant de Moisson qui emménage jeudi viendra rejoindre Janine et les autres occupants de lieux.

Des places sont encore disponible­s et les prix semblent plutôt attractifs. La résidence devrait être entièremen­t opérationn­elle très rapidement, avec son restaurant qui sera même ouvert aux personnes extérieurs. L’inaugurati­on officielle aura lieu le 10 juillet.

C’était Scène ouverte sous le chapiteau du théâtre de Lommoye, samedi 11 juin. Pour le show, la ferme a notamment accueilli les comédiens du conservato­ire de Vernon, de la Scène nouvelle d’Évreux, et bien entendu les locaux de la compagnie Étincelle Bouillasse.

Ce fut une sorte de patchwork, une assiette anglaise où l’on a vu se succéder des sketchs, clowneries, et chansons initiés par David Aubert, à la fois technicien et maître de cérémonie. Pas de hooligan ici mais des spectateur­s conquis et souvent hilares, une heure trente de bonne humeur pour tenter de donner quelques couleurs à notre monde et notre ciel un peu trop moroses. Le magnifique Dis, quand reviendras-tu ? de Barbara, chanté a cappella, était vraiment très à propos. Parfois, le burlesque n’a pas besoin de paroles, comme dans la danse des gobelets, où les spectateur­s sont mis à contributi­on, faisant partie intégrante du spectacle.

La compagnie Étincelle Bouillasse vous donne rendezvous vendredi 17 juin prochain sous le chapiteau pour « Un dîner presque raté » (déconseill­é aux moins de 10 ans).

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