Le Courrier de Mantes

Les Vieux volants à l’assaut des routes de la Loire

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Durant 4 jours, 38 véhicules ont participé au 22e rallye Mantes à l’eau, organisé par l’associatio­n les Vieux volants d’Ile-de-France.

Le départ a été donné jeudi dernier, direction les routes de la Loire, avec une première étape à Romorantin où il n’était pas question de rater le musée automobile Matra.

L’étape suivante a conduit les participan­ts à Valençay pour visiter un autre musée de l’auto ainsi que le château. Après une nuit de sommeil réparatric­e, les petits bolides ont pris la direction de Beauval pour la visite du zoo et du parc où les conducteur­s ont pu profiter d’un spectacle féerique. Et ce n’est pas la seconde journée à Beauval sous la pluie qui a fait baisser le moral des participan­ts.

Le moral au beau fixe malgré la pluie

Le moral de tous était au beau fixe. À l’image de deux couples belges, Patrick Faust et son épouse, venus de Bruxelles et M. et Mme Declercq-Van der Stiggel, venus de Huldenberg. Deux couples fans du rallye Mantes à l’eau puisque l’un y participai­t pour la 4e fois et l’autre pour la 7e fois.

Un rallye qu’ils apprécient particuliè­rement pour

« la bonne ambiance et la conviviali­té qui y règne. Si quelqu’un tombe en panne, l’entraide est immédiate, tout le monde s’arrête ».

Des pannes, il n’y en a eu qu’une cette fois, et encore seulement au retour ce dimanche. De l’eau, il y en a eu aussi, mais seulement pour rincer les voitures…

Autre habitué de ce rallye, Stéphane Teste, le gérant du magasin M.Bricolage qui y participe depuis vingt ans. Pendant dix ans, il a parcouru les routes du rallye avec une Pontiac 1950, remplacée depuis par une Volvo Amazone de 1968.

Tout ce petit monde a été accueilli place de l’Hôtel-de-Ville par le maire, Michel Vialay qui a félicité les participan­ts de porter haut les couleurs de Mantes.

« travail immense que ça représente tout au long de l’année. On voit le travail fini mais on ne voit pas ce qui se passe avant. »

Au total, ce sont 32 élèves qui ont exposé leurs travaux. Parmi eux, Agnès Jourdan, élève au Centre depuis cinq ans. Littéralem­ent « obsédée par le réchauffem­ent climatique, toutes ses toiles lui sont consacrées. Leïla El Baroud termine sa première année au Centre en

»

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