Le Courrier des Yvelines (Poissy)
Les stades de l’euro
Saint-denis, Paris, Lyon, Marseille, Nice, Toulouse, Bordeaux, Saint-etienne, Lille et Lens sont les métropoles retenues par la Fédération française de football et L’UEFA pour accueillir les 51 rencontres de la compétition, les 24 équipes qualifiées et les 2,5 millions de spectateurs attendus.
C’est le Stade de France, le plus grand en capacité de tout l’hexagone (81 300 places), qui recevra le plus de matches, 7 au total, avec notamment le match d’ouverture et la finale. En revanche, les stades bretons (Rennes, Nantes) et ceux du Grand-est (Strasbourg, Metz, Nancy), un temps candidats, seront les grands absents de cet Euro.
Quatre enceintes sportives nouvelle génération ont été construites dans l’optique du tournoi.
Stades nouvelle génération
C’est le cas du stade Pierremauroy de Lille doté d’un toit rétractable (50 200 places), du stade des Lumières de Lyon (ou Grand stade), flambant neuf (58 900 places), du stade Bordeaux-atlantique (42 100 places) et de l’allianz-riviera de Nice (36 200 places).
Pour le stade Vélodrome (67 000 places), le Parc des Princes (45 000 places), le stade Geoffroy-guichard (42 000), le stade Bollaert-delelis (38 200 places) et le Stadium de Toulouse (33 500 places), des infrastructures déjà existantes, d’importants travaux de rénovation, d’extension et de mise aux normes ont été engagés.
La facture globale des chantiers s’élève à 1,6 milliard d’euros.
Pour chaque rencontre, les capacités des stades seront revues à la baisse. Au cours du championnat d’europe, L’UEFA impose en effet des contraintes supplémentaires plus strictes en matière de sécurité, de loges et de tribunes de presse que lors des compétitions de club.
D’autre part, le cahier des charges de l’instance européenne n’autorise pas les stades hôtes à porter leur nom de marque durant toute la durée de l’événement.
Enfin, l’ensemble des enceintes sera équipé d’une connexion internet très haut débit avec la 4 G. Une première.