L’agenda

« Cela crée une forte tension, car ils se marchent dessus. Ils n’arrivent pas à dormir correctement. Ils n’ont pas d’espace pour lire, jouer. Il n’y a même pas assez de place pour mettre un meuble supplémentaire. Psychologiquement cela devient intenable. »

Situation difficile des enfants

Une situation qui n’est pas pour aider des enfants en situation difficile. En effet, les deux garçons et les deux filles seraient reconnus handicapés, à des degrés divers, par la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) et seraient suivis par plusieurs spécialistes, dont des orthophonistes, des psychomotriciens…

« C’est difficile pour nous tous et cela ne les aide pas à progresser. Il nous faudrait un logement plus grand. Nous avons fait plusieurs demandes auprès de la ville. Les seuls appartements que l’on nous a proposés, j’ai été obligé de les refuser. Le premier était F4 qui était plus petit que celui-ci et un dans le second il y avait des moisissures ce qui pouvait causer de gros problèmes à l’une de mes filles qui est très allergique. Dans l’idéal, cela serait un F5 pour que la grande et la moyenne puissent avoir leur chambre. »

Du côté de la mairie du Pecq on rappelle que la mère de famille a déjà refusé deux propositions. « Comme dans toutes les villes, il n’est pas simple de trouver un logement. Madame Ayad a refusé nos propositions alors même que nous avions dû nous battre avec les bailleurs, car elle n’avait aucun revenu. Il s’agissait de deux appartements corrects, sans moisissures contrairement à ce qu’elle affirme et l’un avait surtout une pièce de plus. Nos services ont fait le travail nécessaire pour lui venir en aide. De plus, aujourd’hui, elle n’a pas renouvelé de demande au Pecq mais souhaite trouver un logement sur d’autres communes que la nôtre. »

Fathia Ayad assure, quant à elle, qu’elle possédait bien des revenus au moment de monter ses dossiers et qu’elle compte, très prochainement, renouveler sa demande au Pecq. En partenariat avec le service Vie sociale, l’association Agirabcd propose aux seniors de réviser leur code de la route au travers d’ateliers «Sécurité routière». Remise à niveau du code de la route, approche sur l’importance de l’éco-conduite, conseils sur la sécurité, la santé et le véhicule, les clés du succès pour rester un véritable as du volant. Ces ateliers gratuits se tiendront le mardi 26 septembre de 14h à 16h30 au pôle Wilson. Inscriptions auprès du service Vie sociale en téléphonant au 01 30 61 21 21. Pour la 6e année consécutive, l’association Imagine for Margo, basée à Fougueux, organise le dimanche 24 septembre 2017, au Domaine national de Saint-cloud, la course «Enfants sans cancer». Un événement solidaire et convivial parrainé par Christophe Dominici, en présence des chercheurs et de nombreuses personnalités. La course «Enfants sans cancer» peut être courue sur 5 ou 10 km, ou marchée. Depuis sa création fin 2011, Imagine for Margo a collecté 4,5 millions d’euros pour la recherche contre les cancers pédiatriques, première cause de mortalité infantile par maladie : chaque année en Europe, 35 000 enfants et adolescents sont diagnostiqués et 6 000 en meurent. 1 enfant sur 440 développe un cancer avant l’âge de 15 ans. Inscriptions à la course avant le 19 septembre minuit et collectes de dons sur enfantssanscancer.com

Samedi 30 septembre de 15h à 17h sont organisée des olympiades, jeux sportifs en famille. Sur inscription, gratuit. Espace Pierre Delanoë. La Pianoterie (20 Grande Rue) et le restaurant La Plantation (22 Grande Rue) s’unissent dans un but associatif d’aide aux victimes des Antilles en organisant un dîner créole (piano bar ambiance jazzy) le jeudi 21 septembre à partir de 19h30 à La Plantation. Menu entrée, plat, dessert à 28 €. Une partie sera reversée à la Fondation de France - Solidarité Antilles. Les dons au chapeau seront les bienvenus pour la prestation de Guy de la Pianoterie et entièrement reversés à la fondation. Des dons supplémentaires peuvent être versés directement à : Fondation de France - Solidarité