Le Courrier des Yvelines (Poissy)
Ces sportifs yvelinois que l’on pourrait retrouver à Paris
Depuis que Paris a été désigné, de nombreux sportifs yvelinois se mettent à rêver d’être de la partie dans sept ans. Alors que certains ambitionnent maintenant de pousser leur carrière jusqu’à cette date, d’autres entendent, tout simplement, confirmer les attentes qu’ils suscitent Qui sont ces sportifs yvelinois qui porteront peut-être les couleurs de la France à domicile ? Tony Yoka n’écarte pas un retour La première personne qui vient à l’esprit au moment de dresser cette liste, c’est le boxeur Tony Yoka, originaire de Chanteloup-les-vignes. Le champion olympique des super-lourds, passé pro après les J.O. de Rio, avait laissé entendre au mois de mai, lors de la présentation des futurs sites olympiques, qu’il pourrait être de la partie. « Je ne serai pas à Tokyo en 2020. La seule condition pour que je revienne aux Jeux, c’est que ceux-ci aient lieu à Paris en 2024. Je prendrai ma décision un an avant », avait-il lâché aux médias. La probabilité qu’il relève le défi dépendra, d’ici là, de son parcours chez les professionnels où il ambitionne de conquérir le titre mondial.
Les triathlètes de Poissy et Sartrouville évidemment
Depuis l’intégration du triathlon au programme olympique en 2000, les clubs yvelinois ont toujours eu des représentants. Et il n’y a pas de raison pour que ceux de Paris échappent à la règle quand on sait que Poissy et Sartrouville comptent dans leurs rangs de nombreux talents en devenir. On pense tout d’abord aux Pisciacais Cassandre Beaugrand (27 ans en 2024) et Dorian Coninx (30 ans), qui ont participé à leurs premiers J.O. l’an dernier. À cette liste, on peut ajouter un garçon comme le Sartrouvillois Raphaël Montoya (29 ans en 2024), récemment sacré champion du monde en espoirs. Les hockeyeurs de Saint-germain La France sera automatiquement représentée dans tous les sports collectifs. Une aubaine incroyable, par exemple, pour les hockeyeurs et notamment pour ceux du club de Saint-germain-en-laye. Actuellement, ils sont une dizaine à fréquenter les collectifs nationaux. Certains comme Hugo Genestet, Blaise Rogeau, François Goyet, Delfina Gaspari ou Julie Brachet, âgés de moins de 26 ans, peuvent voir jusqu’à Paris 2024. « Je me rends compte petit à petit que c’est une énorme chance qu’il faudra saisir et qui va demander beaucoup de travail et d’investissement », confie la dernière citée, qui aura 25 ans en 2024. Les footballeuses du PSG À cette liste déjà bien fournie, il est possible d’ajouter quelques noms de footballeuses du PSG qui fréquentent déjà l’équipe de France. Et notamment la nouvelle génération incarnée par Onema Grace Geyoro (née en 1997), Perle Morroni (1997) ou bien encore Léa Kergal (1999), qui seront en pleine force de l’âge dans sept ans.