Philippe Pivert est décédé

Maire adjoint à Saint-germain-en-laye, conseiller départemental et sportif accompli, Philippe Pivert est décédé ce samedi 20 août au matin à l’âge de 68 ans.

Maire adjoint chargé de la prévention, de la sécurité et de la vie associative jeunesse et sport à Saint-germain-en-laye, Philippe Pivert est décédé ce samedi 20 août au matin des suites d’une longue maladie à l’âge de 68 ans.

Maire adjoint depuis 1995

Sa carrière politique a démarré à Plaisir, où il a été élu conseiller municipal d’opposition en 1989. C’est en 1995, qu’il devient maire adjoint à Saintgermain-en-laye dans l’équipe du maire de l’époque, Michel Pericard.

Élu au département en 2011, puis en 2015

Élu au département en 2011, puis en mars 2015, Philippe Pivert était aussi un grand sportif très impliqué dans le karaté. Membre fondateur du club saint-germanois AK 78, (karaté shito-ryu), il avait très récemment été élevé au grade de 9e dan. Cette distinction, lui avait été délivrée par la Commission spécialisée des dans et grades équivalents (CSDGE) et Francis Didier, le président de la fédération Française de karaté.

Une belle carrière sportive

Membre de l’équipe de France de karaté en 1976, il a été vainqueur de la coupe du Japonest et de la coupe de France en 1975, champion de France interligues en 1978 et champion de France en 1976 et 1978. Il était professeur diplômé et a été directeur technique de la ligue de karaté des Yvelines, responsable régional des grades, membre de la commission nationale des grades et dan et expert fédéral. Les obsèques de Philippe Pivert auront lieu le mardi 30 août, à 14h30, à l’église Saint-germain.

Emmanuel Lamy, maire de Saint-germain-en-laye

« C’est un ami très cher que je perds et je sais que ma peine est partagée par la grande foule de tous ceux qui l’ont apprécié et aimé. »

Karl Olive, maire de Poissy, Vice-président du Conseil départemental des Yvelines.

« Philippe, c’était une sacrée baraque. Un coeur gros comme ça. Toujours souriant. Un fidèle parmi les fidèles. Il avait le goût des autres, au karaté, dans son métier de cadre hospitalier et aussi dans son engagement en politique. Il s’est battu jusqu’à la dernière minute. Au Conseil départemental, Philippe était un collègue très apprécié avec lequel nous partagions de franches tranches de rigolade. Nous pensons à ses filles et sa famille. Et prions pour lui. »