Le Courrier des Yvelines (Saint-Germain-en-Laye)
Un ascenseur au cinéma d’ici fin janvier
Au cinéma Jean-marais, situé à proximité de la place, un ascenseur va être inauguré à la fin du mois de janvier. La construction de l’édifice, qui devait être achevé en décembre, a pris un peu de retard à cause du renforcement nécessaire de ses fondations. Cet équipement va permettre aux personnes âgées et à mobilité réduite d’accéder facilement à la salle de projection qui vient d’être entièrement refaite avec des fauteuils neufs. « Nous sommes contents car des pensionnaires de résidences pour personnes âgées situées à côté ne se rendaient pas au cinéma à cause des marches à descendre puis à remonter. Maintenant, elles vont pouvoir le faire », se réjouit la maire-adjointe à la culture Catherine Politis.
Les deux résidences du Centre communal d’action sociale (CCAS) vont être rénovées. Il est prévu la réfection de leurs ascenseurs, des éclairages des parties communes, des sanitaires des appartements, ainsi que le remplacement des fenêtres et des volets. Une autre résidence du CCAS, située à proximité du rond-point du Pecq, va être également restaurée.
Tableau rénové
Le projet, évalué à 1,3 million d’euros, a reçu le soutien de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) qui a attribué au CCAS deux emprunts au taux de 0 % pour un montant total d’un peu plus de 670 000 euros.
Afin de permettre la réalisation de la dernière tranche de ces travaux, le conseil d’administration du CCAS a approuvé, lors du vote du budget, un autre recours à l’emprunt pour un montant de 500 000 euros.
Sur le plan culturel, la ville va rénover un second tableau après un premier, représentant la Vierge Marie, qui avait été accroché en janvier 2016 dans la paroisse Sainte-marguerite après une longue restauration. Il s’agit d’une copie d’un tableau de Paul Véronèse. « Cette toile date du XVIIIE siècle mais on ne sait pas précisément quand elle a été peinte. Le conseil départemental va participer au financement de sa restauration. Il est très encrassé avec des toiles d’araignées collées sur le vernis. La toile nécessite du travail ainsi que le cadre qui a perdu sa dorure. » (Voir également en page 3)