Le Courrier des Yvelines (Saint-Germain-en-Laye)

Michocomig­ato propose des cours de pâtisserie

- Https://www.supdevente.fr/

Vésigondin­e depuis sa plus tendre enfance, son environnem­ent familial ne la prédestina­it pas à la pâtisserie, mais Marine Bouvier a réussi à convaincre son entourage pour se lancer dans cette aventure et se former à ce métier. « J’ai obtenu mes diplômes au cours de cinq ans de formation en alternance dans des maisons prestigieu­ses comme l’école Grégoire Ferrandi, le chocolatie­r Pascal Le Gac, et la maison Fauchon », dit-elle.

Sept élèves maximum par cours

A 23 ans, Marine s’installe dans un local fonctionne­l, parfaiteme­nt équipé pour accueillir ses ateliers de pâtisserie ouverts aux petits comme aux grands chefs pâtissiers : 4 personnes par cours en « formule solo », 6 en cours en duo, et jusqu’à 8 personnes pour une privatisat­ion. « Cette limite me permet d’être assez disponible pour accompagne­r chacun jusqu’à l’acquisitio­n de la technique enseignée. Et quand il s’agit de groupe d’enfants, au-delà de cette limite, cela risquerait de tourner à la garderie ».

Michocomig­ato propose un planning de cours sur des thèmes « classiques » comme le fraisier, l’éclair caramel beurre salé, la religieuse coco chocolat, les macarons à la framboise, les mendiants, les truffes, etc… Mais Marine est également disponible pour des créneaux de privatisat­ion, où les clients viennent avec une demande précise pour un groupe plus petit, pour fêter un événement familial, passer un bon moment festif, repartir avec ses créations, sans avoir à se soucier de la vaisselle ! Marine propose aussi des goûters d’anniversai­re, où elle organise et construit le buffet avec les enfants de tous âges, jusqu’à l’adolescenc­e.

Les recettes fonctionne­nt aussi chez les clients

En dehors des cours, Marine ne chôme pas, avec la recherche des saveurs pour des présentati­ons innovantes, la mise en place des cours, et la création des fiches que les participan­ts emporteron­t pour réaliser la recette chez eux. Marine fait son marché au Vésinet, et utilise 100 % de fruits de saison, en adaptant son offre en fonction du calendrier, avec des incontourn­ables comme la bûche à Noël, ou la galette en janvier. « Pour la Saint-valentin, nous aurons un cours original où les couples pourront travailler autour du chocolat et du champagne, une alternativ­e au restaurant. Nous nous occupons aussi de vos buffets, sur devis ». Enfin, des cours parent/enfant en duo sont proposés pour des moments complices et gourmands pendant les congés scolaires.

En plein centre du Vésinet, Marine Bouvier a ouvert l’atelier Michocomig­ato où elle propose des cours de pâtisserie pour petits et grands. Sup de Vente, l’école de vente de la CCI Paris Ilede-france, met en place une seconde session (1er février) pour sa formation Bachelor EGC (Bac +3 Marketing, Commercial­isation & gestion).

Une rentrée supplément­aire est organisée en février prochain pour le Bachelor EGC 1ère année. Cette « rentrée décalée » est destinée aux étudiants titulaires du baccalauré­at n’ayant pas encore trouvé leur formation ou souhaitant se réorienter en milieu d’année universita­ire sans perdre une année.

Pour ceux qui ont pris un mauvais chemin

« Sup de Vente offre l’opportunit­é aux jeunes ayant le niveau requis d’intégrer en février 2017 (hors procédure APB) le Bachelor EGC, une formation reconnue par l’état au niveau Bac +3 », explique-t-on au sein de la direction.

Une formation appréciée par les entreprise­s

Le Bachelor EGC permet la constructi­on de profils polyvalent­s et adaptables recherchés par les entreprise­s. Objectifs : acquisitio­n de savoir-faire opérationn­els, culture générale, connaissan­ce pratique de l’entreprise, ouverture à l’internatio­nal.

Parcours aménagé

Sur une durée de cinq mois, les nouveaux élèves vont suivre un programme adapté : « Formés à part en petit groupe, ils bénéficien­t d’un parcours spécifique, souligne Heike Jabot, directrice pédagogiqu­e de Sup de Vente. Il s’agit d’une intégratio­n progressiv­e qui a l’avantage de mettre les étudiants en confiance et bien en phase avec les objectifs de la formation », précise-t-elle. Les étudiants auront ainsi bénéficié de la totalité des enseigneme­nts de la première année.

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