Le matin, ça coince devant le lycée

Durant la réunion publique concernant les travaux prévus par le lycée international, les riverains ont fait part de leurs inquiétudes concernant le stationnement et la circulation aux abords de l’établissement, déjà difficiles en tant normal. Nous sommes allés sur place pour nous rendre compte de la situation.

Jeudi matin, 8h, le calme avant la tempête. La rue du Fer-à-cheval est déserte. De nombreuses places de stationnement sont encore libres à 300 mètres de l’établissement. La place Jean-monnet est elle aussi dégagée. Devant le collège et le lycée international de Saint-germain-en-laye, même constat : à part quelques élèves en avance, le quartier est pour l’instant très calme. Un calme très vite interrompu par les premiers bus qui partent de la place Jean-monnet, passent devant le lycée pour aller en direction de Fourqueux. La rue du Fer-à-cheval n’est pas large, ce qui rend difficile le croisement des bus, notamment lorsque des voitures se garent sur le bord du trottoir devant le lycée. Entre 8h30 et 9h, l’afflux de voitures augmente considérablement : les parents ont tendance à s’arrêter sur la route pour faire sortir leurs enfants devant le collège ou le lycée et à gêner le passage des autres voitures. Même si ces arrêts sont rapides, la rangée de voitures s’accumule.

À l’angle de la rue du Bashuet et du Fer-à-cheval, des embouteillages se créent également rapidement. Ce matin-là, une voiture tente de faire demi-tour, et se retrouve coincée entre trois voitures. Au passage piétons se trouvant à ce carrefour, de nombreux élèves traversent, ce qui rend également la situation difficile. Une situation qui, il est vrai, ne devrait pas s’arranger si des travaux viennent d’ajouter à la cohue matinale.

L’angle des rues du Bas-huet et du Fer-à-cheval est particulièrement encombré le matin.