Trouvez-vous encore un intérêt à vous licencier dans un club cycliste ?
Vous êtes assez partagés sur l’utilité de se licencier pour faire du vélo, voici les raisons…
Pour progresser
Après deux ans de pratique où je roulais souvent seul, j’ai franchi la porte d’un club sur les conseils de mon vélociste. Le fait de partager des sorties en groupe coupe la monotonie des sorties en solo. Cela m’a permis de franchir le pas pour faire mes premières cyclos et peut-être l’an prochain faire quelques courses en Ufolep. Nicolas François
Apprendre à rouler
S’inscrire et rouler en club permet de progresser et de se lancer dans des événements qu’il n’est pas facile d’aborder seul (brevets de 200 km, l’Ardéchoise, Brevet randonneur alpin…), sans expérience. On y apprend aussi à rouler en peloton, les techniques de relais, bordures… sans oublier le plus important : la convivialité ! Stéphane Schweitzer
Acquérir de l’expérience
C’est essentiel de ne pas rouler seul quand on débute dans le cyclisme pour prendre ses marques, rouler en groupe, apprendre des anciens, découvrir les parcours et le milieu… Même si avec le temps, certaines contraintes interviennent, comme les horaires de départ souvent matinaux, toujours les mêmes randonnées (car les anciens ont parfois peur du changement…). François Xavier Gaeremynck
Progression et sécurité
Une licence club offre de sérieux avantages, une progression plus rapide à l’entraînement dans un groupe de niveau, souvent suivi par une voiture et un coach qui sait vous conseiller, une sécurité en cas de soucis de matériel. La possibilité de participer à des compétitions, c’est un aboutissement pour tous les passionnés. Patrick Lerouge
Une ambiance unique
Un club, sinon rien ! La licence dans un club présente de nombreux intérêts, comme sortir de l’isolement, le plaisir de rouler entre amis, progresser en se mesurant aux autres… Mais aussi bénéficier d’une organisation offrant des possibilités de séjours (montagne, étranger…), d’une assurance groupe, et rien ne saurait remplacer l’ambiance d’un club. Corentin Malfait
La tradition se perd
Il fut un temps où être licencié à un club cycliste était synonyme d’appartenance à une famille sportive. Aujourd’hui, le cyclisme est pratiqué par des personnes qui n’ont pas la culture du cyclisme. Les us et traditions se perdent, la roue tourne aussi bien en étant un électron libre du cyclisme. Noël Léger
Trop de contraintes
Ce n’est pas pour moi, car je trouve qu’il y a trop de contraintes d’horaires pour les sorties en groupe, trop de niveaux différents entre les cyclistes et enfin des entraînements trop axés sur la compétition, du moins dans les clubs que j’ai pu côtoyer. Jean-Marc Renoud
Rester indépendant
Je préfère rouler seul, car je peux m’entraîner comme il faut selon les séances spécifiques que je dois faire. De plus, je peux faire ma sortie longue à un autre moment que le dimanche matin. Enfin, je roule sur un parcours que j’ai créé selon l’envie du moment. Denis Labbe