Le Figaro Magazine

ANAHITA MAURITIUS,

DES SIGNATURES D’EXCEPTION

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A l’est de l’Ile Maurice, situé en face de l’île aux Cerfs et de son golf signé Bernhard Langer, s’étendent les 213 hectares de jardins tropicaux riches de nombreuses essences originelle­s et de plantes rares du domaine Anahita Mauritius.

Celui-ci recèle deux resorts de luxe et des propriétés privées formant plusieurs quartiers distincts autour d’un golf de dix-huit trous parmi les plus spectacula­ires de l’île, dessiné par le champion sud-africain Ernie Els.

Autour du Four Seasons Golf Club, le domaine dispose de deux plages exclusives de sable blanc, sept restaurant­s, un éventail large de prestation­s et services haut de gamme ainsi qu’un spa de plus de 600 m² proposant des soins délicats à base de thé. L’an dernier, Anahita Mauritius a ouvert un nouveau chapitre de son histoire en développan­t les parcelles nord de ce fabuleux écrin.

D’une part, ce domaine de luxe a conçu, sous le crayon de l’architecte écossais Alistair Macbeth, des villas de 3 à 5 chambres, modulables selon les aspiration­s et modes de vie des acquéreurs avec un parti pris certain pour la vie en extérieur, un ‘’essentiel’’ sous ces latitudes. D’autre part, et d’une rareté absolue à l’ile Maurice, c’est le célèbre architecte français Jean-Michel Wilmotte qui signe une collection en série imitée de huit demeures somptueuse­s, dont 7 en bordure de lagon et accessible­s en pleine propriété.

LA SIGNATURE DE JEAN-MICHEL WILMOTTE

Imaginés dans un esprit minimalist­e et dans des matériaux hors normes chers à l’architecte, ces biens d’exception, répondent aux attentes de la clientèle internatio­nale, française, britanniqu­e, suisse ou plus récemment émiratie et sud-africaine. « J’ai souhaité créer une enclave unique au coeur d’un site naturel exceptionn­el et développer une identité forte : cet ensemble aura un caractère manifeste qui le distinguer­a au premier coup d’oeil ! Il présentera une cohérence architectu­rale tout en ménageant des singularit­és et une intimité propres à chacune de ces demeures », confie Jean-Michel Wilmotte. Les demeures se distinguen­t par leur scénograph­ie architectu­rale et paysagère qui permettent de vivre été comme hiver à l’abri des vents dominants et de la chaleur. Chacune se veut différente et développe un caractère unique qui s’inspire de son implantati­on. « Lors de ma visite à Maurice, j’ai été impression­né par les tours Martello, ces petites forteresse­s rondes très présentes sur l’île, ainsi que par les cheminées des anciens moulins de canne à sucre. J’ai été saisi par le contraste que l’on observe entre la robustesse et la massivité des murs en pierre basaltique et la volubilité de la végétation naturelle, envahissan­te et enveloppan­te, qui fait ainsi échec à l’aspect défensif des tours et en adoucit l’âpreté. J’ai trouvé ce rapport d’opposition entre l’exubérance végétale et la rigueur minérale très intéressan­t. Cela a inspiré la ligne directrice de l’architectu­re des demeures, dans laquelle la dimension paysagère est fondamenta­le », confie l’architecte.

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© ANAHITA MAURITIUS
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© ANAHITA MAURITIUS
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© ANAHITA MAURITIUS

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