Signature de 18 contrats de professionnalisation Carton plein pour Au revoir là-haut
USINE RENAULT DE CLÉON. Une partie des jeunes embauchés.
Depuis 1992, Renault s’est engagé dans un partenariat avec le ministère du Travail de l’emploi et de la Cohésion sociale visant à développer l’emploi, la qualification et l’insertion des jeunes sans qualification dans le milieu industriel. Un accord cadre a été signé en 1993 et reconduit depuis, le dernier avenant ayant été signé en 2014.
Par cet accord, RenaultCléon s’est engagé à ouvrir des capacités d’accueil, d’accompagnement et de professionnalisation en direction de jeunes repérés par les missions locales, demandeurs d’emploi et qui rencontrent des difficultés d’insertion.
Depuis 23 ans, l’usine de Cléon est entrée dans ce dispositif d’insertion par la formation professionnelle. Ce sont 159 adultes qui ont pu préparer en
alternance et obtenir un CAP leur permettant de s’insérer, voire pour certains de se réinsérer, dans la vie professionnelle.
La semaine dernière, au terme d’une période de pré-qualification de trois mois, dix-huit personnes ont signé leur contrat de professionnalisation afin de préparer un CAP opérateur logistique et sont entrées dans un parcours formatif basé sur l’alternance de dix mois. L’usine de Cléon recrute des femmes et des hommes intéressés par des postes d’exploitant industriel, de conducteur d’installation d’usinage ou de fonderie, de technicien de maintenance et de manager d’équipe. Les offres de poste sont disponibles sur group.renault.com/travailler-chez-renault
Plus d’un mois avant sa sortie nationale (prévue pour le 25 octobre) a eu lieu l’avant-première du film le plus attendu de la rentrée cinématographique. Malgré les fortes averses de la soirée et le jour choisi, plus de deux cents personnes se sont déplacées jusqu’au cinéma pour voir « Au revoir là-haut ».
Petit rappel du synopsis : Édouard et Albert, deux rescapés de la Première Guerre mondiale, montent une arnaque aux monuments aux morts. Pour le comptable et le dessinateur de génie, c’est une entreprise dangereuse et spectaculaire dans les années folles qui les attend.
À la fin de la projection est arrivé derrière l’écran Albert Dupontel, sous une vague d’applaudissements. Lors du débat qui a suivi, l’acteur et réalisateur du film a été très plébiscité mais a réussi, tout de même, à expliquer comment s’est produite cette comédie dramatique.
Dans un premier temps, le réalisateur a lu une épreuve du film par l’intermédiaire de Catherine Bozorgan, la productrice mais n’a pas pu s’y consacrer faute de temps. Puis quelques Discussion animée entre Albert Dupontel (à droite, au côté de Richard Patry) et les spectateurs.
mois plus tard, après avoir lu le roman éponyme de Pierre Lemaître, Albert Dupontel voit dans le livre un grand potentiel visuel par le biais des descriptions extrêmement précises des personnages faites par l’auteur. Il décide donc de réaliser le film et de consulter Pierre Lemaître pour le scénario.
Ce scénario a été rédigé en
peu de temps, « 600 pages en trois semaines » d’après Albert Dupontel. Le tournage a, lui aussi, été bouclé vite (trois mois). « Les acteurs étaient très impliqués ce qui a facilité les choses », explique le réalisateur
Suite au screen test réalisé il y a trois mois dans ce même cinéma, Albert Dupontel, très perfectionniste, a fait distribuer
des formulaires aux spectateurs afin de savoir quelles scènes pouvaient être coupées au montage. Résultat : treize minutes ont été supprimées entre cette séance et l’avant-première.
Mission accomplie pour Albert Dupontel : les spectateurs ont été conquis et le film tient toutes ses promesses.
Hélène MONEYN